Comme un signe...
Des années sans te voir, te lire ou t'apercevoir et puis quelques mots un jour, en bas d'une histoire .
Je me souviens t'avoir envoyé un premier message, te disant comme j'étais ravie de te
revoir. Depuis, tu m'as avoué que depuis le 3ème message échangé, tu savais que nous nous rencontrerions un jour.
Il faut dire que le monde de la domination, soumission me fascinait depuis quelques années
maintenant. Je me sentais plus que prête.
Nous avons donc planifié notre première rencontre assez rapidement.
Avant ce jour précis, il y a bien sûr eu quelques jeux, quelques tests.
Celui où tu m'as obligée à passer toute une journée au bureau en robe mais sans culotte, et pire
encore, celui où tu m'as demandé de passer la journée en jean et sans culotte. Il y a eu ce questionnaire,, les privations, les interdictions de
jouir.
Ce qui est sûr que, c'est que je suis arrivée à notre rendez-vous dans un état d'excitation
extrême.
Mes instructions avaient été les suivantes : une jupe ou robe courte serrée, des bas avec porte
jarretelle, autorisation de porter des sous-vêtements, 3 stimulations dans la journée, sans aller jusqu'à la jouissance. Le reste concernait le comportement attendu d'une soumise, ainsi que quelques précisions sur ton pouvoir de Maître.
Ce que je n'avais pas prévu, c'est
qu'au fur et à mesure de mes pas, la robe laisserait apparaître les bas et porte-jarretelle. C'est donc excitée mais complètement stressée que tu
m'as découverte.
Le trajet jusqu'au parking où tu avais garé ta voiture m'a paru interminable.
Je me suis aperçue que les jupes remontent beaucoup moins en descendant les marches plutôt qu'en les montant.
Une fois arrivés à ta voiture, tu as ouvert le coffre, rangé ma valise et tu es venu te coller derrière moi . Je t'avais dit combien j'avais cette hantise des
parkings, je pensais donc que tu jouerais juste quelques secondes et puis tu m'as dis :
" j'ai quelque chose à vérifier".
J'ai alors senti ta main passer entre mes cuisses et remonter sur ma culotte. Non
satisfait, tu as remonté ma robe à mi- fesses et repris ton examen. Évidemment, malgré cette peur qui m'habitait j'étais trempée. Je devenais ces voitures qui circulaient autour de
nous, mais j'étais bien trop honteuse pour oser relever la tête . C'est à ce moment que je t'ai senti
passer les doigts sous la dentelle de ma culotte, puis commencer à le descendre doucement sur mes hanches. Lorsque j'ai compris, j'ai fait tout mon possible pour te faciliter la tâche et que cela se termine. Lorsque tu es arrivé à mes chevilles, j'ai levé une jambe puis l'autre. Tu t'es alors redressé et m'a remis ce morceau de dentelle trempée dans la main. D'un regard d'approbation tu m'as
autorisée à entrer en voiture. Je me suis engouffrée dedans, signant alors un retour à la réalité en voyant des voitures et passants à quelques
rangées devant nous. Je venais de me faire deculotter par un homme, contre une voiture dans un lieu public.
Honteuse à souhait, ce n'est que lorsque nous sommes arrivés à un feu à la lumière du
jour, que je me suis rendue compte que ma robe était remontée en haut de mes cuisses, laissant
apparaître mon intimité aux passants.
Nous n'étions plus très loin de l'hôtel et pourtant j'ai trouvé le trajet interminable. Nous
nous sommes garés à quelques rues et avons poursuivi à pieds. Cette robe qui ne fait que remonter laissant apparaître mes bas à chaque pas, le vent
que je sens venir caresser mon sexe... C'est à cette instant précis que j'ai senti toute cette mouille dégouliner le long de mes cuisses. J'étais en train de me liquéfier en marchant au milieu d'une rue animée et... J'adorais ça.
Tu as de nouveau voulu m'agacer :
" Crois tu que le réceptionniste va me croire si je lui dis que tu es une petite chienne trempée ? , Crois tu qu'il voudra vérifier " ?
Je déteste quand tu fais ça, parce ce qu'en plus de suggérer une peur , cela m'excite terriblement.
Nous entrons dans l'hôtel. Je suis figée derrière le comptoir d'accueil . Un autre couple arrive derrière nous : je suppose qu'ils
voient mes bas et mes porte-jarretelles, si ce n'est pas le cas maintenant, ça sera de toute façon une évidence lorsqu'ils me verront monter les quelques marches qui mènent à l'ascenseur.
Nous entrons dans l'ascenseur , j'ai peur qu'une idée perverse te traverse l'esprit . Mais non, il n'en n'est rien et nous arrivons
tranquillement à notre chambre.
Je suis toujours tremblante de peur et d'excitation mais maintenant que nous sommes à l’abri des regards, ma respiration commence à
s'apaiser.
Puis tu me dis que tu as oublié quelque chose dans la voiture, que tu me laisses seule 5 minutes.
"Profites en pour te détendre "
Et tu refermes la porte derrière toi.
Me voici seule dans cette chambre. A peine la porte est elle fermée que je file dans la salle de bain.
Je me passe de l'eau sur le visage. J'ai chaud . Je touche mon entrejambe. Je suis vraiment trempée. Mon sexe, mais l'intérieur de mes cuisses
aussi.
Je serai bien tentée de me laver et me sécher mais je doute que tu apprécierais ce geste. Alors je retourne dans la chambre et m'étends sur le
lit.
Je contrôle ma respiration pour me détendre un maximum. Je prends mon téléphone et découvre que tu m'as envoyé un message mais au moment même
où je le survole " Attends moi .. face au mur .." , j'entends la clé de la porte.
Je regarde le message , puis la porte et de nouveau le message :
"Attends moi jupe relevée à mi-fesses, porte ouverte, face au mur, les mains posées sur le mur ".
Je suis terriblement déçue. J'aurais aimé lire ce message plus tôt pour pouvoir te montrer toute mon envie et ma détermination, mais tu es déjà dans le couloir de la chambre. Tu ne dis rien.
Je m'active et me place face au mur, mains sur le mur au dessus de ma tête.
" Tu n'as pas oublié quelque chose ? "
Je remonte ma robe à mi-fesses.
Je te sens alors derrière moi. Je sens ta main se poser sur mon intimité. Je soupire de soulagement.
Tes doigts viennent me fouiller .
-" Mais tu es trempée "
-"Oui"
-"Pardon ?"
-"Oui"
Je sais ce que tu veux entendre, je sais ce qu'il faut dire, mais je ne peux pas.
Tu as retiré tes doigts, ta main a attrapé mon visage et le tourne vers toi.
-"Oui qui ?"
Je te regarde avec défit et confusion.
Une première tape s'abat sur mes fesses.
-" Oui qui ? "
Je soupire ....
Une deuxième tape arrive.
Je n'en ai toujours pas envie, mais je viens de comprendre que plus vite j'allais te dire cet espèce de mot magique, plus vite nous passerions
à autre chose.
" Oui Monsieur ".
" Et bien dis donc, on dirait que ça t'arrache la bouche !".
Tu me replaces contre le mur, me demande de me cambrer plus et je te sens de nouveau caresser mon intimité.
Mais avec un objet cette fois ci. Je ne sais pas ce que c'est, mais je sens vraiment passer la première insertion.
C'est puissant et apaisant. Puis tu forces encore un peu et cet objet est complètement en moi.
Ce sont des boules de Geisha . A cet instant je ne maîtrise pas encore leur effet et je suis bien trop occuper à répondre des
" Oui Monsieur " timides à chacune de tes questions.
Tu as maintenant décidé te t'occuper de mon autre orifice et t'affaires à le détendre afin d'y faire entrer un petit plug.
Son insertion viendra activer pour la première fois les boules de Geisha.
Tu t'éloignes .... silence puis ... le bruit horrible de cet appareil photo.
Je déteste ce sentiment d'impuissance mais je ne bouge pas, mains au mur, cul cambré, orifices comblés.
Tu te redresses et va t'assoir sur le lit.
" Viens ici " me dit tu en me montrant tes genoux.
Je dois avoir un réflexe de mine dédaigneuse car dès que tu me regardes, ton visage s'éclaire de ce sourire que je déteste tant .
" Ah, ça , tu n'aimes pas hein ? Tu te souviens de ta punition pour la jouissance non
autorisée ? ".
" 30 fessées (silence) ... Monsieur "
" Et bien tu vois, ça rentre !"
Et je me retrouve le ventre sur tes genoux, comme une petite fille qui aurait fait une bêtise.
Je suis honteuse à cet instant, surtout que tu me corriges pour que je m'installe
correctement.
Par le passé, j'avais parfois reçu quelques fessées pendant mes ébats amoureux mais dès la première fessée qui s'est abattue sur ma
fesse droite, j'ai su que cette correction n'aurait rien à voir avec ce que j'avais pu connaître.
Elle était vive, brûlante , cuisante.
Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. Tu as marqué un temps d'arrêt puis une deuxième s'est abattue sur ma fesse gauche.
"Bon, ok, ça ne va pas aller mais comme c'est la première fois , tu as droit à une petite explication : la soumise doit compter pour son
Maître ".
Tu as repris, toujours aussi sévèrement . Ta main vient de s'abattre sur ma fesse droite.
Mon corps de tend, un gémissement m'échappe.
" Un, Monsieur " ( oui oui, je le dit de toute ma volonté là).
" Ah non, on ne t'as pas prévenu, on commence à zéro ".
Je t'ai détesté, haï, exécré et maudit à cet instant , mais je n'ai rien dit . ( Il faut avouer que je n'étais pas en position de
force).
Tu as repris.
"Zéro Monsieur " ... "Un Monsieur " ... Je déteste comme tu prends ton temps, comme je ne sais jamais quand elle va arriver.
Je déteste aussi comme je viens d'apprendre le fonctionnement des boules de Geisha.
A chaque fois que tu me fesses et que mon corps se tend, elles se mettent en action et irradient mon ventre. La douleur sur mes fesses, le
plaisir à l'intérieur.
" 6 Monsieur ".
- " On avait pas dit 15 fesses couvertes et 15 sans culotte ? "
- " Si Monsieur " - Une lueur d'espoir m'a traversée, mais je suis vite revenue à la réalité.
- "Arf, puisque tu n'as déjà plus de culotte, tant pis, on continue ".
Je t'ai re-detesté, re-haï, re-exécré, et re-maudit.
-" 7 Monsieur ".
-" Debout, reprends ta position contre le mur".
Je me suis replacée, tête contre le mur, mains au dessus de celle-ci.
"Cambre toi plus !"
Je m'exécute et ... de nouveau, le bruit de l'appareil photo.
Derrière moi, puis sur le côté.
Et à nouveau ta main sur mon cul. Un nouveau cri qui s'échappe, et les boules qui reprennent vie.
- " 8 Monsieur " et très vite, nous arrivons à dix.
Le silence, une caresse frissonnante dans le dos, sur mes fesses, un coup cinglant
- "11 Monsieur ".
C'est le petit fouet . Il viendra aussi cingler mon entrejambe doucement mais ça ne compte pas.
- "16 Monsieur".
Un nouvel objet caresse mon dos puis mes fesses, puis mon entrejambe.
Puis un nouveau coup, encore plus violent .
- " 17 Monsieur "
Mes fesses me brûlent mais je me bas contre quelque chose de bien plus fort. Entre les boules et le plug, à chaque fois
que tu me corriges, mon bassin s'avance, me donnant la sensation d'être pénétrée par les deux
orifices puis libérée à chaque
fois que je me remets en position.
J'ai du mal à rester en place, j'essaie de m'accroupir pour atténuer l'effet des boules et du plug.
Je prend du plaisir , ma chatte coule sur mes cuisses et je me bats pour ne pas avoir à contrôler un orgasme.
Tu me caresses d'un nouvel objet dans le dos. Je reconnais la baguette de Bambou.
Comme pour les autres, tu me demandes si je veux la sentir s'abattre sur mon cul .
" Non , Monsieur, pas ça ". Je n'ai que trop entendu et vu les marques du bambou. J'ai cru que tu ne tiendrais pas compte de ma remarque, mais
si.
Tu as repris la cravache et les coups ont repris plus intenses que jamais m'arrachant un cri à chaque fois et m'obligeant à me tortiller dans
tous les sens
à cause des boules et du plug. J'ai du mal à garder la position, tu frappes de plus en plus fort et très doucement jusqu'à 22, rendant la
scéance très éprouvante.
Et puis comme une libération, les coups pleuvent rapidement de 23 à 30. Le 30ème m'arrache un vrai cri et me pousse à me mettre sur le côté
tellement il est fort.
L'appareil se déclenche à cet instant précis.
"30 Monsieur ".
Tu vas t'assoir sur le lit.
"Assieds toi sur la chaise, face à moi et caresse toi"
Soulagement...
Même si mon postérieur est cuisant, le poser sur ce pouf en cuir est un vrai soulagement.
Et puis, c'est moi qui joue avec mon corps, moi
qui maîtrise la situation en quelque sorte. En tout les cas, c'est ce que je pense à cet instant.
Je m'installe alors face à toi cuisses largement ouvertes, buste droit et seins tendus.
" Caresses toi"
Ma main se pose sur mon sexe bouillant, deux doigts viennent jouer avec cet antre
mouillé. C'est bizarre, mais à cet instant je te défis.
Je te fixe avec ce petit sourire qui te dis que je ne craquerais pas ainsi. Je te vois prendre l'appareil, le flash... Je ne me suis pas arrêtée mais effectivement je maîtrise les caresses pour ne pas avoir à lutter
contre le plaisir.
" Joues avec les boules de Geisha"
Je te déteste . S'il est facile de doser l'intensité de mes doigts sur mon clito et ma fente
humides, le mouvement de ces boules ne se gère pas.
J'ai malgré tout obéi, j'ai tiré sur la ficelle.
Le plus doucement possible et pourtant.... Les parois de mon vagin ont été magnifiquement stimulées,
m'emportant un peu plus aux portes du plaisir. Je dois cependant me maîtriser car en plus de ce stimulus, le plug toujours présent augmente
l'intensité du bouillonnement de mon corps. Je suis un peu moins sûre de maîtriser la situation. De plus, tu joues avec le petit fouet, excitant la pointe de mes seins, mes flans aussi, mes
cuisses. Un trop plein d'émotions et de sensations m'envahit mais comme il est absolument impossible
que je craque devant toi, je laisse cette intensité nerveuse se transformer en riant aux éclats. Ce rire nous surprend tous les deux mais il est de
courte durée. De nouveau je te fixe en me caressant devant tes yeux brillants. Puis mon regard se pose sur ton entrejambe. Je devine ton sexe bandé et je me dis qu'il serait beaucoup mieux que
mes doigts sur mon sexe. Tu vois mon regard :
"Qu'est ce que tu veux"
" Vous sucer"
"Pardon ?"
"je veux vous sucer"
" il va falloir demander correctement : J'aimerai vous sucer s'il vous plaît Monsieur", et
ensuite on verra si c'est possible.
J'ai détesté ces mots, cette demande. J'ai détesté
cette idée de devoir demander. Mais j'ai aussi vite compris que je n'avais pas d'autre moyen.
" S'il vous plaît Monsieur, j'aimerai sucer votre queue"
" C'est si bien demandé, viens"
Tu as retiré ta ceinture de cuir en me précisant qu'elle pourrait servir pour plus tard, je t'ai
aidé à retirer tes vêtements et je me suis agenouillée entre tes jambes.
Je t'ai d'abord léché doucement pour récupérer ce liquide témoin de ton excitation, j'ai gobé
ton gland si lisse et si doux puis j'ai commencé à te prendre entièrement en bouche.Je me suis appuyée sur mes jambes, montant et descendant au
rythme de ce que ma bouche imposait à ta queue.
Sauf que les boules de Geisha ont alors démarré leur cycle infernal. J'étais baisée de
l'intérieur, déchirée entre le plaisir que je voulais te donner et celui que je prenais. J'ai cependant continué à caresser ton sexe de ma
bouche, m'appliquant à te donner le plus de plaisir possible. Je sens que ma langue et ma bouche te
plaisent, tant pis si je dois pour cela me battre avec mon propre plaisir. Cela a duré un long moment,
puis de nouveau, ta voix ferme et grave :
" Mets toi sur le lit, sur les genoux, tête posée,
fesses cambrées"
Je pose ma tête sur le lit laissant mon postérieur cambré juste au bord du lit.
Je suis contente, cette position est confortable et me permet de me détendre.
Puis surtout, ta main vient flatter ma croupe franchement, avant que je ne sente ta queue caresser mon sexe dégoulinant. J'aime cette caresse parce qu'elle est pleine de douceur, ton sexe tendu et lisse contre ma peau toute aussi lisse... J'ai adoré cette douceur, invitation à des instants qui le seraient beaucoup moins.
Bien que délicieusement agréable, cette caresse a duré peu de temps. Déjà, tu as attrapé les boules de Geisha et tu les as retirées, sans douceur puis tu as retiré le plug avant de vouloir
le remplacer par un autre. Le problème est que ce second plug était beaucoup plus gros et n'arrivait pas à entrer.
Tu as senti cette résistance, entendu mon gémissement plaintif et tes mots ont résonné dans ma
tête :
" S'il le faut, je vais forcer "
Et tu as joins le geste à la parole.J'ai essayé de me détendre, mais il y a malgré tout eu cette douleur sourde et furtive puis
enfin, un soupir de soulagement. J'étais comblée, remplie
comme une petite chienne. Surtout qu'aussitôt, ta queue est venue combler ma petite chatte dégoulinante.
Mes mains ont attrapé les draps devant moi , je les ais serrés fort en laissant le plaisir
m'envahir.
Puis tu as retiré le plug en me disant que j'étais maintenant bien détendue et tu l'as remplacé
par ta queue dure et tendue.
Je me battais depuis un moment déjà, alors je t'ai demandé :
" Est-ce que je peux jouir s'il vous plaît Monsieur ? "
"Non, pas maintenant "
Et tu t'es immédiatement retiré, me laissant pendelante de désir et de frustration, pourtant,
presque aussitôt tu es revenu en moi, combler ma petite chatte dégoulinante de plaisir qui n'attendait que toi. Tu me baisais fortement, profondément, intensément et de nouveau j'ai senti le plaisir m'envahir :
" Est-ce que je peux jouir s'il vous plaît Monsieur ?"
" Oui, viens maintenant"
Mots libérateurs, salvateurs. Il me faut quelques
secondes, que mon esprit comprenne que maintenant la maîtrise n'était plus nécessaire et puis... J'ai laissé ce plaisir me submerger, envahir chaque cellule de mon corps, chaque parcelle de mon esprit.
C'était le premier orgasme de cette première fois... C'était un délicieux orgasme, long et
intense. Au bout de mon plaisir, toujours la tête et le corps dans les étoiles, j'ai senti ta queue qui envahissait de nouveau mon anus. Je t'ai senti m'envahir de nouveau et prolonger mon plaisir alors même que le tien explosait.